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Commentaire d'écoute de Schéhérazade de Rimski-Korsakov

Publié le 15/12/2024

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« MUSIQUE Bref commentaire rédigé d’un document témoignant de la vie musicale contemporaine QUESTION 1 Tout d’abord, le fait que ChatGPT indique que le solfège « permet de lire et d’interpréter une partition musicale » est pertinent.

En effet, toute personne initiée au solfège se retrouvant face à une partition se trouve en capacité de « lire et jouer des morceaux de musique », grâce à la compréhension des « symboles et les notations utilisées dans la notation musicale ».

L’interprétation est alors largement facilitée par la capacité à lire une partition musicale.

Toutefois, dans les musiques actuelles, d’autres moyens de transcrire la musique – tablatures et notation américaine – permettent aux musiciens de jouer des morceaux avec facilité, sans pour autant être initiés à la lecture solfégique.

Il convient ici de marquer une différence entre la musique dite « savante » nécessitant une certaine connaissance du solfège, et les musiques qualifiées de « populaires », pouvant être transcrites, apprises, jouées différemment.

L’utilisation du solfège en tant qu’outil essentiel de lecture et d’interprétation semble donc à nuancer, puisque son emploi varie selon la pratique musicale de chacun. Ensuite, il est vrai que le solfège apporte une aide certaine pour appréhender et analyser plus profondément et finement la musique, puisqu’il permet de développer « ses compétences et sa compréhension de la musique ».

Dans le cas de l’écoute d’un morceau inconnu, la connaissance de la notation musicale et du solfège peut s’avérer utile – par l’identification précise et la capacité à savoir nommer des éléments techniques – mais pourtant, parfois non indispensable.

En effet, une fois de plus, tout dépend de la pratique musicale de chacun.

Dans le cadre de certaines, savoir reconnaître « les motifs mélodiques, les accords, les gammes et les rythmes » et « comprendre la structure et l’organisation des morceaux de musique » ne semble pas toujours nécessaire.

C’est le cas, notamment, des musiques populaires, folkloriques et en particulier du chant traditionnel, a cappella – caractérisés généralement par des structures simples, des mélodies et rythmiques répétitives, et survivant d’une tradition avant tout orale, donc généralement pas composées, transmises, écrites au sens classique du terme, sur une partition musicale.

Par ailleurs, dans le cadre d’une musique dite plutôt « savante », connaître le solfège est indubitablement nécessaire à la compréhension des œuvres de ledit répertoire, dans la complexité, notamment orchestrale, du morceau.

Il peut donc sembler utile, mais non indispensable, d’avoir une connaissance approfondie du solfège et de la notation musicale – c’est selon le répertoire abordé.

Néanmoins, pour avoir un savoir musical plus vaste, pouvant s’étendre à un large champ englobant les musiques à la fois populaire et savante, le solfège apparaît comme ayant une importance certaine. Par ailleurs, si le solfège est depuis toujours essentiel à la composition de musiques « savantes », il ne semble plus véritablement indispensable dans les musiques actuelles.

ChatGPT l’identifie comme essentiel à l’ »improvisation et la composition » parce qu’il permettrait de « créer de nouvelles mélodies, harmonies et rythmes de manière plus fluide et créative ».

Cependant, de nos jours, ce précepte est de plus en plus remis en cause.

Le fait d’avoir une connaissance du solfège, de se conformer à des règles d’écriture immuables – du point de vue harmonique, notamment – apparaît plutôt comme une contrainte, non pas infondée ou inutile, mais un peu trop restrictive.

Cela semble d’ailleurs se confirmer avec l’émergence et la présence de plus en plus nombreuse de musiciens-auteurs-compositeurs-interprètes autodidactes et non formés au solfège, sur la scène actuelle. Enfin, il est vrai que le solfège « fournit un langage musical commun qui.... »

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