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La monarchie espagnol

Publié le 17/02/2023

Extrait du document

« Bonjour à tous, on va vous présenter notre sujet qui consistait à savoir qu’est-ce que la monarchie espagnole.

On va d’abord voir le sommaire : Dans un premier temps nous verrons l’introduction puis l’organisation politique de l’Espagne de 1931 à 1975 où nous allons voir la seconde République et la dictature de Franco Dans un second temps nous verrons l’organisation politique de l’Espagne de 1975 à nos jours en parlant du règne de Juan Carlos et de Felipe présenter par moi-même et pour finir on terminera par une conclusion et un quizz. On va donc parler du règne de Juan Carlos qui permet la stabilisation de la situation mais qui finit par être problématique. Tout d’abord, le souverain Juan Carlos Ier, descendant direct de Louis XIV, nait le 5 janvier 1938 à Rome.

Ses parents, Jean de Bourbon (1913–1993) et Marie de Bourbon (1910–2000) sont en exil en Italie depuis la mise en place de Seconde République espagnole en 1931.

L’arrivée au pouvoir, en 1939, du dictateur Francisco Franco permet au futur roi de revenir en Espagne. Il se marie en 1962 avec la princesse Sofia.

Ensemble ils ont trois enfants.

Elena, Cristina et Felipe avec qui l’on reparlera plus tard. Ensuite, deux jours après la mort de Franco, survenue le 20 novembre 1975, Juan Carlos de part son sang royal et donc ce que l’on appelle la Ley de Succession est proclamé roi d’Espagne.

D’autant plus que Franco, qui avait pris le pouvoir en 1939 au terme d'une guerre civile, avait désigné Juan Carlos comme son possible successeur.

Il va alors engager l’Espagne vers la voie de la démocratie, contrairement à ce qu’espéraient les partisans du régime de Franco surnommé « el Caudillo ». Les Espagnols sont charmés par ce roi qui devient le symbole de l’unité et de l’ouverture du pays.

D’ailleurs, le 15 juin 1977 sont organisées les premières élections démocratiques depuis l'instauration de la dictature. Juan Carlos doit néanmoins faire face le 23 février 1981 à une tentative de coup d’Etat fomentée par des nostalgiques de la dictature franquiste.

Le roi, bien décidé à ne pas céder aux pressions, réagit rapidement.

Dans une allocution télévisée, où il apparaît vêtu de son uniforme de chef des armées, il appelle à défendre la Constitution.

Il gagne alors le respect de toute la classe politique et de son peuple. Mais au fil des années, une défiance s’installe avec Juan Carlos Ier.

La monarchie est affaiblie par des scandales.

Avec la crise économique, certaines habitudes royales ne passent plus comme ses chasses d’éléphants en Afrique ou d’ours bruns en Roumanie qui font polémique.

Ce dernier prend des vacances au Botswana, payées par l’argent public en partie, alors même qu’une majorité d’Espagnols souffre des conséquences économiques de la crise.

Plus grave, l’inculpation de sa fille, Cristina, pour fraude fiscale et blanchiment d’argents.

Où encore ses multiples problèmes de santé.

D’ailleurs, un sondage publié en janvier 2013, où les Espagnols se prononcent à 62 % pour l’abdication de Juan Carlos en faveur de son fils, le prince Felipe.

Et de plus en plus de personnes remettent en cause l'institution monarchique.

Le 18 juin 2014, après 39 ans de règne, Juan Carlos, le roi d'Espagne, dépose sa couronne, en faveur de son fils le prince Felipe. Suite à cela, Juan Carlos annonce son intention le 3 août 2020 de vouloir quitter l’Espagne, suite à des soupçons de corruption.

Il s’est finalement exilé dans la capitale des Émirats arabes unis en août 2020 pour « faciliter l’exercice (des) fonctions » de son fils, a-t-il rappelé dans sa lettre. On a donc pu voir les raisons du déclins brutales de.... »

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